Le joueur de cartes
Edimbourg, hiver 1899. Sophie est une jeune fille curieuse et maligne toujours prête à mettre au point des plans compliqués pour arriver à ses fins.
Depuis qu'un étrange navire est arrivé avec un équipage décimé par un étrange épidémie, Sophie est aux aguets pour comprendre de quoi il en retourne. Son père n'est autre que l'ami d'un certain Arthur Conan Doyle, romancier mais surtout le médecin qui a examiné le capitaine du bateau juste avant son décès.
Quand elle comprend qu'une mystérieuse machine était cachée dans le bateau, elle décide de la trouver et s'en servir. Mais voilà, la machine en question n'est autre qu'un étrange automate qui lui propose une partie de cartes qui va mal tourner. Sophie est entraînée dans un monde très étrange où elle va devoir se débrouiller pour en sortir !
Quand Daniel Henocq, que je remercie, m'a proposé de découvrir son roman, je n'ai pas hésité. Rien que la couverture a suffit à me convaincre et l'histoire qui s'annonce semble tout aussi passionnante.
La majorité du roman se passe dans un univers digne d'Alice aux pays des merveilles appelé le Nowhereland. La jeune fille y croise des personnages tous plus originaux les uns que les autres.
J'ai beaucoup aimé la mise en scène de l'auteur du célèbre Sherlock Holmes et d'ailleurs j'ai regretté qu'il n'apparaisse pas plus longuement dans l'histoire.
Ce livre, publié aux éditions Volpilière, s'est révélé passionnant et surprenant, j'ai passé un excellent moment à le lire. Le style de l'auteur est simple et agréable, bref : ça se lit tout seul et ça transporte le lecteur ! L'histoire était donc à la hauteur de cette magnifique couverture de Margaux Kindhauser et je vous invite à découvrir vous aussi le Nowhereland.
Ça pourrait aussi vous plaire :